Communiqués de presse

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Visuel communiqué de presse
Communiqué de presse : le Dr Jane POINCENOT nouvelle directrice qualité du DPC.

Le docteur Jane POINCENOT vient de rejoindre l’Agence nationale du DPC en tant que Directrice de la qualité du développement professionnel continu (DPC). Elle succède au Dr Jean-Philippe NATALI qui a exercé cette fonction de 2019 à 2024. Une carrière de chirurgien hospitalier… Après un exercice en qualité de chirurgien viscéral et digestif, le Dr Jane POINCENOT rejoint en novembre 2013 le centre hospitalier intercommunal de Créteil, successivement en qualité de responsable de l’unité fonctionnelle de chirurgie digestive, de chef de service de l’unité de chirurgie ambulatoire puis de médecin coordonnateur des risques associés aux soins. Dans ces fonctions, elle est pionnière dans la mise en place d’un programme de récupération améliorée en chirurgie digestive (RAAC), créé une offre en chirurgie bariatrique qui sera labellisée et développe la chirurgie ambulatoire au sein de son établissement. …mise au service de l’amélioration de l’organisation de la qualité et de la sécurité des soins  Forte de cette expérience de chirurgien et de management des soins, le Dr POINCENOT est mise à disposition auprès de la direction générale de l’offre de soins (DGOS) en 2018 en tant que conseiller médical et travaille à la mise en place des Groupements hospitaliers de territoire. A ce poste, elle conduit un appel à projet visant à accompagner les établissements de santé dans la mise en place de la réforme et participe aux concertations sur la gouvernance médicale des GHT dans le cadre des concertations sur la loi Buzyn de 2019 relative à l’organisation et la transformation du système de santé. C’est également à la DGOS qu’elle a pu se familiariser puis adopter des outils d’animation de groupes de travail tels que le design thinking ou étudier des méthodes innovantes tels que le double numérique dans la gestion des flux de patients.Elle rejoint en 2023 l’ARS Guyane en qualité de conseillère médicale auprès du directeur général, avec un travail notamment centré sur les problématiques d’accès aux soins dans ce territoire très spécifique. Elle s’investit notamment sur l’autonomisation du territoire dans la prise en charge des cancers avec le développement de partenariats renforcés, tant de soins que logistiques, avec les acteurs antillais, et l’accompagnement de la création de la filière de repérage et de prise en charge de l’endométriose. C’est forte de son expérience médicale, de sa très bonne connaissance de l’hôpital, ainsi que des enjeux d’organisation, de qualité et de sécurité des soins qu’elle rejoint aujourd’hui l’Agence du DPC.  Pour télécharger le communiqué de presse, cliquer ici  

Visuel communiqué de presse
Communiqué de presse : Formation continue des médecins : la Cour des comptes conforte l’expertise de l’Agence nationale du DPC

L’Agence nationale du DPC a pris connaissance du rapport de la Cour des comptes sur la formation continue des médecins transmis à la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale et publié le jeudi 26 septembre 2024, sur lequel elle a été entendue.  L’Agence se réjouit que son rôle de contrôle et d’expertise soit pleinement reconnu par les magistrats.Ainsi, s’agissant du contrôle de l’offre de formation, la Cour établit que « le mode de régulation de l’ANDPC correspond au mode de régulation le plus fort, puisqu’il impose, d’une part, les procédures les plus complètes (enregistrement préalable des organismes de formation, enregistrement préalable de chaque action de formation) ainsi que les critères les plus stricts, pour les organismes de formations comme pour les actions elles-mêmes. » (p.68). Elle précise qu’il s’agit d’un « mode de régulation ambitieux, bienvenu au regard des exigences attendues de la gestion des deniers publics » (p.68).Ce faisant, elle recommande que, pour assurer la qualité des actions de la certification périodique, l’ANDPC prenne en charge la labellisation dans le cadre d’un label commun et obligatoire des organismes de formation : « Au regard de son expertise en matière de régulation, l’ANDPC peut être envisagée pour assurer ce rôle, ce qui supposerait une évolution de ses missions pour qu’y soit intégré le champ de la certification. » (p.69).La Cour invite en outre à étendre le pilotage financier de l’Agence à la certification périodique : « Au terme de ces travaux, la compétence de l’ANDPC pourrait être étendue au financement non pas seulement des actions du DPC, mais également de la certification périodique. » (p.84).Elle relève également que le système d’information de l’ANDPC peut être étendu à l’ensemble des financeurs : « Pour faciliter l’accès des médecins à l’offre de formation, une option envisageable pourrait être d’autoriser l’Opco Santé et les employeurs à avoir accès au système d’information de l’ANDPC. Cette solution avait déjà été proposée par l’ANDPC, en 2018, sans qu’aucune suite ne lui soit alors donnée. Cette solution pourrait être réexaminée, alors que, dans le cadre du développement du nouveau système d’information de la certification, il est attendu que les employeurs puissent communiquer directement la liste des formations suivies par leurs salariés. » (p.87).Enfin, « seule l’ANDPC exige, pour la mise en œuvre d’une action de formation, le respect de critères relatifs à la prévention des conflits d’intérêts » (p. 66), alors que le dispositif de certification périodique tel qu’il se dessine « place sur le même niveau des établissements qui présentent des garanties de qualité et d’indépendance de niveaux différents, à l’égard desquels les exigences de qualité administrative, scientifique et pédagogique ne sont pas comparables. » (p.39).Alors que la Cour des comptes conforte le rôle de l’Agence nationale du DPC en matière de contrôle, de financement et de système d’information dans la perspective d’une refonte de la formation continue des médecins, l’ANDPC renouvelle sa position de faire du DPC un dispositif fondateur du nouveau dispositif de certification périodique des sept professions de santé à ordre. Le DPC, dans ses avancées scientifiques et pédagogiques, peut et doit constituer une brique « socle » obligatoire du nouveau dispositif de la certification périodique pour les professions concernées. C’est à cette condition que l’offre de formation des médecins (comme celle des autres professions) non seulement constituera un levier pour répondre aux objectifs de santé publique et aux enjeux professionnels, mais également répondra à l’exigence scientifique, méthodologique, pédagogique et d’indépendance que doit maintenir la formation des soignants.  Pour ces raisons, l’Agence est prête à apporter ses ressources et l’expertise qui est la sienne, qu’elle a construite pas à pas, appuyée par l’ensemble de ses instances, à la mise en place du nouveau dispositif de certification périodique, dont le DPC doit constituer le fondement.Pour télécharger le communiqué de presse au format pdf (287 Ko)  

Vue de la porte de l'Agence du DPC
Un nouvel organigramme pour répondre aux enjeux du DPC et conduire la stratégie de l’Agence nationale du DPC

Depuis sa création en 2016, les objectifs pour l’Agence ont été de structurer le dispositif, d’encadrer qualitativement l’offre et de sécuriser le financement du DPC des professionnels libéraux conventionnés.     Au terme de ces 8 années de fonctionnement, les processus d’enregistrement des organismes de DPC et de contrôle qualité des actions sont en place et les enveloppes budgétaires par profession sont garanties jusqu’à fin décembre de chaque année.En ce début d’année 2024, la Directrice générale, Michèle LENOIR-SALFATI, identifie de nouveaux enjeux : Placer la stratégie de prévention, de pilotage et de gestion des risques au cœur de l’ensemble des décisions et de l’activité.     L’ANDPC s’inscrit dans la mise en œuvre d'une stratégie de contrôle interne dynamique. Le contrôle interne joue un rôle crucial dans la préservation de l'intégrité, la sécurité et la durabilité de nos opérations.    En tant que pilier central de la gouvernance, il vise à assurer la transparence, à minimiser les risques et à optimiser l'efficacité des processus.     Les zones de risques doivent pouvoir être identifiées et analysées pour éclairer et orienter les choix de l’Agence, leur apparition devant être anticipée et si possible, évitée, via un pilotage dynamique et efficient.      En investissant dans le renforcement du contrôle interne, l’Agence démontre son engagement pour la qualité, la fiabilité et la durabilité de ses activités.La constitution d’un pôle de référence pédagogique et médical, qui assurera la mission de conseil auprès de la direction générale et qui apportera l’expertise scientifique, méthodologique et pédagogique nécessaire aux travaux menés avec les CNP, les partenaires institutionnels et les ODPC.Une politique d’ouverture et de transparence auprès des usagers. L’identification préalable et continue de leurs attentes, permettra de renforcer l’adéquation de l’information et de l’accompagnement qui leur sera destinés, mais également de développer des modalités de travail collaboratif en valorisant leur savoir expérientiel. Le renforcement du positionnement international, notamment en participant aux travaux et standards internationaux.Pour y répondre, l’Agence a revu son organisation avec la création de nouvelles directions et missions : Une mission « contrôle interne », qui coordonne les processus de maîtrise des risques au sein de l’Agence. Cette mission s'attache à garantir l'intégrité de ses opérations en veillant au respect des procédures et règles internes. Elle œuvre pour identifier, évaluer et atténuer les risques potentiels des processus majeurs, permettant ainsi à la direction générale de prendre des décisions informées et prévoyantes. En collaborant étroitement avec chaque service de l’Agence, elle vise à optimiser l’ensemble des processus, cherchant ainsi à accroître l'efficacité opérationnelle et favoriser une culture d'amélioration continue.Une mission « expertise », qui assure la mission de conseil et d’expertise médicale auprès de la direction générale. Elle élabore le programme de développement du dispositif, en lien avec le Haut conseil du DPC, dont elle assure le secrétariat, et déploie les activités de veille et de représentation internationales de l’Agence, en participant notamment aux travaux promouvant des standards internationaux de qualité du DPC.  Cette mission d’expertise assure également, tous les trois ans, le pilotage méthodologique et opérationnel de la concertation relative aux orientations prioritaires de DPC, en lien avec l’ensemble des parties prenantes.     Enfin, elle est également en charge de la définition et de la mise en œuvre de l’évaluation de l’impact du dispositif.Une nouvelle direction, la Direction des relations avec les usagers, de l’accompagnement et de la promotion du DPC, qui assure le pilotage de la mise en œuvre de la stratégie de la promotion du DPC et de l’accompagnement des différents usagers du dispositif (ODPC, professionnels de santé, instances de contrôle, membres des instances de l’Agence, acteurs institutionnels). Elle est en charge de l’information des acteurs et de la conception et diffusion d’outils et méthodes d’accompagnement sur le dispositif de DPC. Elle coordonne la concertation des acteurs, notamment par la mise en place de comités d’usagers. Elle est également chargée de la définition de la stratégie globale de promotion du DPC auprès des différents acteurs, de la mise à disposition d’une information ciblée par public et de l’élaboration et de la diffusion d’outils d’accompagnement. Enfin, elle assure la communication interne et la diffusion de l’information auprès des personnels de l’Agence. Un nouveau comité de Direction de l’Agence pour piloter le DPC Sabine COHEN-HYGOUNENC et Marie-Ange LARREUR : deux nouvelles directrices au sein de l’Agence Le parcours professionnel de Sabine COHEN-HYGOUNENC, nouvelle Directrice des relations avec les usagers, de l’accompagnement et de la promotion du DPC, a été marqué par deux volontés fortes : celle d’assurer la qualité et la sécurité des soins d’une part, et celle d’accompagner et d’informer les publics d’autre part, en s’appuyant notamment sur l’expérience usagers.    Elle a ainsi développé la démarche qualité dans plusieurs cliniques pendant 7 ans avant de rejoindre la sphère publique à l’ANAES devenue HAS où elle a encadré les équipes en charge d’accompagner les procédures de certification des établissements de santé.. Convaincue de la nécessité d’accompagner et d’informer les acteurs, elle a créé une unité d’information des établissements de santé sur la certification, puis il lui a été confié la responsabilité d’un nouveau service sur l’information des usagers pour piloter la création du premier site national d’information publique sur la qualité des hôpitaux et cliniques de France : scopesanté.fr, aujourd’hui renommé QualiScope.    Arrivée fin 2018 à l’Agence nationale du DPC, elle y a d’abord occupé le poste de responsable du service du développement du DPC, dont une des missions était de conduire le processus de définition des orientations prioritaires de DPC. En 2021, le service a élargi son périmètre à la promotion du DPC auprès des professionnels et des organismes.     Nommée à la Direction administrative et des ressources, Marie-Ange LARREUR est juriste spécialisée en droit de la santé.     Après une solide expérience juridique dans le domaine de l’assurance maladie complémentaire, elle entre dans celui de l’assurance maladie obligatoire, en rejoignant en 2005 la CPAM du Val d’Oise, en tant que responsable du service en charge du contrôle de l’activité des professionnels de santé, puis du service Gestion du risque en charge de l’accompagnement des professionnels de santé sur la maitrise médicalisée des dépenses.    Ce poste en CPAM lui permet d’appréhender les enjeux des relations conventionnelles entre les professionnels de santé libéraux et l’Assurance maladie, et c’est à ce titre qu’elle rejoint en 2011 le département des professionnels de santé de la Direction de l’offre de soins, de la CNAM. Elle y assure la coordination des relations conventionnelles avec les représentants nationaux des auxiliaires médicaux, des sages-femmes et chirurgiens-dentistes, puis en 2017, prend la tête de la cellule en charge de la coordination des négociations conventionnelles avec les représentants des médecins libéraux.    Après dix ans et demi au service des travaux conventionnels avec les représentants des professionnels de santé, elle choisit, en janvier 2022, de rejoindre l’ANDPC, en tant que responsable du service des affaires juridiques et contrôles où elle a été chargée de mettre en place toute la politique de contrôle renforcé de l’Agence.Mouaz RAHMAN au pilotage du contrôle interne Responsable du contrôle interne au sein de l’Agence depuis plus d’un an, Mouaz RAHMAN a pour mission de développer la maitrise des risques.     Riche d’un parcours dynamique de quelques 12 années dans le domaine du contrôle interne, il a évolué de contrôleur interne à chef de projet, puis consultant senior, et enfin, responsable contrôle interne au sein de diverses structures, principalement dans le secteur banque/assurance.    Sa participation à la mise en place du contrôle interne dans différentes entités lui permet aujourd’hui de comprendre les enjeux et de s’adapter rapidement à son environnement. Guidé par des valeurs telles que l'amélioration continue, l'efficacité opérationnelle et la réduction des risques, il cherche à œuvrer chaque jour pour aboutir à cette mission.    Sa philosophie est simple : l'amélioration continue est la clé de l'excellence. Il incarne par sa fonction, des valeurs d'ambition, de persévérance et d'innovation, cherchant ainsi à établir des normes qui dépassent les attentes.     Aujourd’hui, l’ANDPC s’inscrit dans ces valeurs et c’est dans ce cadre, que la Direction Générale ainsi que la Mission contrôle interne, s’efforcent et s’efforceront ensemble de renforcer cette dynamique, insufflant une culture d'excellence qui positionne chaque collaborateur en tant que pilier essentiel de la sécurisation des opérations au quotidien mais également, pilier de la réussite de l'Agence dans ses missions. Le Docteur Jean-Philippe NATALI, Directeur de la qualité du DPC, pour la création et la coordination du nouveau pôle d’expertise, en appui de la direction généraleRiche d’un parcours professionnel qui combine expérience de terrain et conduite de politiques publiques dans les domaines sanitaire et médico-social, le docteur Jean-Philippe NATALI est titulaire d’un Diplôme d'Études Spécialisée (DES) de santé publique et médecine sociale (2014) et d’un Diplôme d’Etudes Spécialisées Complémentaires (DESC) de gériatrie (2015).      Il exerce à temps partiel comme praticien hospitalier dans une équipe mobile de gériatrie intra-hospitalière de l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris.    Conseiller expert médical sur les politiques de l’autonomie des personnes handicapées et des personnes âgées de 2016 à 2019 à la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS) du ministère des Solidarités et de la Santé, le docteur NATALI a participé aux travaux d’élaboration et de suivi de la Stratégie nationale de santé (SNS), du Plan national de santé publique (PNSP) et de la Stratégie de transformation du système de santé (STSS). Il a également travaillé sur la réforme du Grand âge et de l’autonomie. De 2014 à 2016, il a été chargé de mission médico-économique à la Fédération nationale des établissements d’hospitalisation à domicile (FNEHAD).    Directeur du développement et de la qualité du DPC au sein de l’Agence nationale du Développement Professionnel Continu depuis novembre 2019, il poursuit son action à la tête de la direction de la qualité et pilote la création et l’animation de la nouvelle mission d’expertise et de conseil médical auprès de la directrice générale. Pour télécharger le communiqué de presse    

Communiqué de presse Haut conseil du DPC
Agence nationale du DPC : installation du Haut conseil du DPC

Le premier appel à candidature lancé en avril dernier par l’Agence nationale du DPC a permis de sélectionner neuf des seize membres du Haut conseil du DPC (cinq personnalités qualifiées, quatre au titre des Conseils Nationaux Professionnels – décision du 21 novembre 2023). Sont par ailleurs membres de droit, les présidents des huit commissions scientifiques indépendantes (CSI) de l’Agence, un représentant de la Haute Autorité de santé (HAS) et un représentant de France Université. 20 membres le composent désormais et le Haut Conseil du DPC (HCDPC) sera installé dans sa nouvelle composition et ses nouvelles missions le jeudi 7 décembre 2023 sous la présidence du Dr Bernard Ortolan. Sont nommés :Au titre des Conseils Nationaux Professionnels (CNP) : Madame Anne LARINIER, infirmière,Monsieur Philippe VASSEL, médecin en médecine physique et rédaptation,Madame Virginie VAGNY, ergothérapeute,Monsieur Matthieu CALAFIORE, médecin généraliste.En qualité de personnalités qualifiées :Monsieur David AZERAD, médecin généraliste,Monsieur Bertrand MOCQUET, enseignant-chercheur en Sciences de l’information et de la communication (SIC) et en Sciences de l’éducation et de la formation, Madame Isabelle ROBIN-PAULARD, sage-femme,Monsieur Jean-Daniel GRADELER, médecin généraliste,Monsieur Matthieu SAINT-CAST, masseur-kinésithérapeute.Au titre des commissions scientifiques indépendantes :Monsieur Christian BIANCHI, (CSI médecins),Monsieur Michel BRAZIER, (CSI pharmaciens), M. Stéphane FABRI (CSI paramédicaux et préparateurs en pharmacie), M. Jean-Yves GIRAUD (CSI physiciens médicaux), M. Didier GRIFFITHS (CSI chirurgiens-dentistes),Mme. Marie-Cécile MOULINIER (CSI sages-femmes), M. Bernard NEMITZ (CSI interprofessionnelle), M. Dominique PORQUET (CSI biologistes).En qualité de représentant de la Haute Autorité de Santé (HAS) :Monsieur Pierre GABACH, adjoint à la directrice de l’amélioration de la qualité et de la sécurité des soins et chef du service bonnes pratiques.Un appel à candidature complémentaire est ouvert jusqu’au 22 décembre afin de sélectionner les 7 membres qui en complèteront la composition.Pour lire le communiqué de presse

Rapport d'activité 2022
Le triennal 2020-2022 se termine sur une année record en termes d’engagement des professionnels pris en charge par l’Agence dans le dispositif de DPC

•    182 500 professionnels de santé inscrits à des actions de DPC en 2022 pour un total de 288 000 inscriptions ;•    Hausse de 2.4 % des inscriptions en 2022 par rapport à 2019, dernière année du premier triennal ; •    Au moins 61.3 % des professionnels de santé éligibles au financement de l’Agence engagés dans le dispositif au cours du triennal 2020-2022.Le triennal 2020-2022 a été marqué par une évolution de l’offre de DPC  nécessitant une adaptation constante de l’Agence :•    L’évolution   des modes d’apprentissage : -    Une forte progression des formats en e-learning, prisés par les professionnels de santé ;-    Des méthodes d’évaluations  des pratiques professionnelles de plus en plus utilisées dans les actions de DPC ;-    Des formats plus courts et des contenus plus ciblés.•    Le renforcement de l’analyse des demandes d’enregistrements initial et complémentaire des organismes de DPC pour tendre vers toujours plus de qualité des actions publiées. Ce rapport accorde une large place aux données chiffrées. Il sera complété en fin d’année par une analyse plus complète de l’évolution du dispositif depuis sa création en 2016.  Pour télécharger le pdf du rapport d'activité 2022 (795 Ko)